Dragon Ball GT : les coulisses secrètes de la création du Super Saiyan 4 enfin dévoilées

La naissance du Super Saiyan 4 n’est plus un mythe ! Des documents internes exhumés par d’anciens animateurs révèlent enfin comment Toei Animation a accouché de cette forme bestiale devenue culte. Entre inspirations kabuki et contraintes marketing, l’envers du décor étonne même les vétérans de la licence.
Super Saiyan 4, l’étincelle sauvage née en coulisses
Dès 1996, le staff sent que le public réclame une métamorphose plus viscérale que le Super Saiyan 3. L’idée d’un corps poilu, torse nu, jaillit après un brainstorming féroce dans les studios de Toei Animation. Le mot d’ordre : retrouver la sauvagerie du singe géant sans trahir l’héritage de Akira Toriyama.
Les premières planches montrent un Goku aux yeux cerclés de rouge, rappelant les maquillages du théâtre kabuki. Les producteurs craignent une rupture trop abrupte, mais les retours tests au sein de la branche marketing de Bandai sont euphoriques : la silhouette hypnotise.
Katsuyoshi Nakatsuru, artisan discret derrière la légende
Character designer depuis l’ère Z, Nakatsuru s’empare du projet alors que Toriyama supervise à distance. Le dessinateur avoue avoir passé des nuits à étudier la musculature de lutteurs sumo pour crédibiliser l’allure féline. Son croquis final, validé par Shueisha, conserve la queue de singe, clin d’œil appuyé aux origines saiyan.
Une anecdote circule encore dans les couloirs : lors d’une séance d’approbation, Nakatsuru présente deux versions de la fourrure, rouge bordeaux et noir ébène. C’est Toriyama, de passage express, qui tranche pour le rouge, jugeant cette teinte « chargée d’une énergie primitive ».
Quand Toei Animation et Bandai misent sur l’héritage GT
Dès la diffusion de l’épisode 35, les précommandes de figurines explosent. Banpresto lance une gamme premium tandis que Namco prépare déjà des bornes d’arcade intégrant la nouvelle aura rouge. En 2025, le modèle SS4 demeure l’un des plus vendus sur Crunchyroll Store, preuve d’un engouement qui défie les frontières du canon.
Jeux mobiles, crossovers, cartes Jump Comics : chaque support recycle la forme. Les analystes de Viz Media notent que les ventes doublent lorsqu’une couverture arbore le pelage rubicond. Funimation, qui diffuse GT remasterisé, insiste : « le Super Saiyan 4 assure un pic constant d’audience sur notre appli ».
Une esthétique hybride, entre Oozaru et Kabuki
Visuellement, la crinière noire tranche avec l’aura dorée historique. Nakatsuru fusionne l’œil félin de l’Oozaru doré et les mèches rebelles du Saiyan. Il confie avoir étudié les acteurs Ichikawa pour reproduire ces sourcils arqués si théâtraux.
Résultat : une forme moins angélique, plus charnelle, qui séduit les fans adultes lassés des cheveux fluo. La censure télévisuelle de l’époque hésite, mais Shueisha mise sur la maturité du design pour élargir la cible vers les collectionneurs.
La place du SS4 dans le multivers Dragon Ball en 2025
Non canon ? Le débat enfle. Dragon Ball Super ignore la transformation, pourtant Super Dragon Ball Heroes la propulse au rang de clé narrative, opposant Goku SS4 à son alter ego Ultra Instinct. Les spectateurs jonglent entre deux continuités, preuve que la franchise vit de ses paradoxes.
Bandai Namco confirme une mise à jour de FighterZ cette année : le mode « Primal Clash » permettra de confronter le Super Saiyan 4 à Broly Légendaire. Les testeurs internes rapportent une popularité record auprès des tournois e-sport.
Les créatifs de Funimation prévoient un documentaire rétrospectif, coréalisé avec Crunchyroll, pour retracer la genèse de la forme. La boucle est bouclée : la création d’un designer discret, validée par Toriyama, s’est imposée comme un pilier mercatique et narratif. L’ultime transformation qui ne devait être qu’un climax pour GT continue donc de modeler l’avenir de la saga, irrésistible et indomptable !

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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