Death Note : Light avait une autre fin prévue « les éditeurs ont refusé » révèle Obata

Un croquis inédit secoue la communauté Death Note ! Selon une récente conférence, Takeshi Obata confie que la conclusion pensée pour Light Yagami n’a jamais quitté son carnet à story-boards. L’éditeur du célèbre shonen aurait mis son veto, chamboulant à jamais le destin de Kira.
La fin alternative que les éditeurs ont enterrée
Lors du Jump Festa 2025, Obata dévoile un storyboard où Ryuk abandonne Light dès la page d’ouverture du dernier chapitre : le héros se suicidait, persuadé d’accomplir un sacrifice divinatoire. La scène, sèche et funeste, laissait la Task Force assister impuissante à la disparition de Kira. L’impact émotionnel, jugé trop nihiliste par l’éditeur manga, a conduit à une réécriture nocturne.
Pourquoi le comité éditorial a freiné le duo Ohba-Obata ?
Selon les minutes de réunion exhumées par le magazine Comic Dope, le comité craignait qu’un suicide explicite enfreigne les codes d’un manga culte ciblant un lectorat adolescent. Les annonceurs redoutaient un tollé social, tandis que Tsugumi Ohba plaidait pour une issue implacable, miroir de l’hubris de Light. Le compromis final – la mise à mort orchestrée par Near et la balle de Matsuda – offrait une catharsis plus « légale », en phase avec la ligne Jump !
Un renversement qui aurait redéfini le mythe de Kira
Dans cette mouture occultée, le Death Note se dérobait avant toute confrontation : aucun duel intellectuel, aucun faux carnet. Light, soudain orphelin de pouvoir, révélait son humanité falot. La disparition du duel Near / Mikami aurait privé les lecteurs d’un jeu d’échec grandiose, substituant la tension stratégique par une chute abrupte, presque absurde ; un palimpseste narratif qui aurait rapproché la série d’une tragédie grecque.
Light Yagami : grandeur disloquée avant l’heure
Le storyboard exhibe un Light hagard, dépossédé de son génie calculateur. Sans la scène d’entrepôt, les spectateurs auraient été frustrés de ne point admirer l’ultime joute verbale, cœur battant de la licence. Ce vide stratégique aurait-il accentué la mélancolie ? Probablement, car le lecteur se retrouvent témoin d’une autodestruction lapidaire, symbole d’un pouvoir trop lourd pour un esprit juvénile.
Résonance actuelle : les fans rallument le brasier en 2025
Les réseaux débordent d’hypothèses : certains taclent l’éditeur, accusé d’aseptiser un chef-d’œuvre ; d’autres estiment que la fin publiée, plus chirurgicale, magnifie la dialectique justice vs. corruption. Des clubs universitaires comparent déjà les deux scripts, soulignant l’ubiquité du thème « le pouvoir corrompt ». La controverse revigore les ventes anniversaires du coffret collector, preuve que la légende de Death Note continue d’intriguer les hémisphères.
Au-delà du débat, cette révélation rappelle qu’une œuvre populaire naît aussi de négociations houleuses : la version définitive, fruit d’un équilibre précaire entre audace d’auteur et prudence éditoriale, demeure aujourd’hui l’une des conclusions les plus disséquées du neuvième art !

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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