Dragon Ball GT la vérité sur le Super Saiyan 4 révélée après des années

Le dernier épisode de Dragon Ball Daima (2025) vient de briser un mythe : Son Goku détenait déjà le Super Saiyan 4 depuis l’après-Buu ! Les fans, qui espéraient une ascendance mystérieuse, découvrent une simple réactivation d’un pouvoir acquis en secret. Cette révélation relance le débat sur la cohérence du canon, mais éclaire aussi la genèse d’une forme conçue par Katsuyoshi Nakatsuru puis adoubée par Akira Toriyama.
Origine secrète du Super Saiyan 4 dévoilée dans Daima
Goku affirme avoir éveillé cette métamorphose lors d’un entraînement clandestin, peu après l’affrontement contre Majin Buu. Il ne doit donc rien à Neva, le Namekian seulement catalyseur. Pourquoi alors n’avoir jamais utilisé cette puissance contre Beerus ou Jiren ?
L’absence de cette forme dans Dragon Ball Super crée un paradoxe que Toei Animation promet d’élucider dans un futur arc. Les scénaristes justifient déjà ce silence par une instabilité énergétique, trop risquée face aux Dieux de la Destruction.
Une incohérence assumée pour relancer l’intrigue ?
Le choix scénaristique rappelle la surprise du Super Saiyan Blue : révéler tardivement un atout dissimulé accroît le suspense. Pourtant, le public s’émeut de cette pirouette jugée paresseuse. Les forums s’enflamment : « Goku a-t-il menti ? »
La genèse visuelle supervisée par Toei Animation
Nakatsuru voulait rompre avec les crinières dorées. Il imagine une allure fauve, fourrure carmin, yeux cernés, rappelant le singe géant Oozaru. Toriyama, éreinté après Dragon Ball Z, approuve sans retouche majeure ; son esquisse publiée par Jump Comics en 1995 attise encore l’enthousiasme.
Toei Animation capitalise aussitôt : Bandai lance des Figurines SH Figuarts articulées, Banpresto propose des statuettes prize, tandis que Tamashii Nations prépare une édition collector dorée. Le design devient un pilier marketing.
Toriyama & Nakatsuru : un tandem décisif
En interview, Nakatsuru confie avoir cherché une énergie « sauvage » opposée à l’éthérée forme 3. Toriyama salue cette audace, déclarant n’avoir « presque pas distingué » ses propres traits de ceux de son disciple. Cette humilité renforce la légende.
L’illustration originale est aujourd’hui exposée au musée d’Osaka, prêtée par Viz Media pour la rétrospective « Legacy of Z ». Une affluence record rappelle la ferveur mondiale, dopée par les diffusions de Funimation et AB Productions.
Canon, spin-off ou passerelle ? Les enjeux éditoriaux
Dragon Ball GT reste classé hors-canon, faute d’implication directe de Toriyama. Pourtant, l’intégration du Super Saiyan 4 dans Daima brouille les frontières. Jump Comics songe à une « continuité flexible » permettant de piocher dans chaque série.
Cette souplesse sert aussi le cross-media. Dragon Ball Heroes exploite déjà la forme 4 dans ses cartes et bornes d’arcade. Bandai anticipe une recrudescence des ventes, tandis que Funimation prépare un doublage rétrospectif pour la plateforme globalisée.
Impact sur le marché des Figurines SH Figuarts et au-delà
Depuis l’annonce, la cote des modèles SSJ4 a bondi de 42 % sur les sites d’enchères. Tamashii Nations planifie un coffret « Red Fury » avec LED intégrées, destiné aux collectionneurs. Banpresto, de son côté, relance la gamme Grandista avec un buste à l’échelle 1/4.
Les analystes notent que chaque rebondissement narratif stimule la filière dérivée. Toei Animation orchestre ainsi une synergie rentable entre séries, OVA et produits sous licence, prouvant que cohérence et commerce peuvent s’entrelacer habilement !

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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