Final Fantasy VII Rebirth : retour sur le succès critique et les graphismes époustouflants qui bouleversent la suite du remake

Final Fantasy VII Rebirth a décroché un 92 sur Metacritic et cristallise l’enthousiasme de la presse spécialisée ! La suite du Remake assume une traversée grandiose des souvenirs de Midgar grâce à des graphismes inouïs. Malgré quelques longueurs, l’opus s’impose déjà comme un jalon essentiel du JRPG.
Succès critique de Final Fantasy VII Rebirth : quand l’héritage séduit la presse mondiale
Dès sa sortie sur PlayStation 5, Rebirth a déclenché un concert de louanges. Les rédactions saluent un équilibre subtil entre nostalgie et réinvention, porté par un système de combat mariant action pure et jauge ATB héritée du RPG originel. L’ensemble érige un pont solide vers les nouveaux publics, quatre ans après la première partie.
Un 92 métacritique : un plébiscite rare pour un jeu épisodique
Obtenir une moyenne au-delà de 90 reste exceptionnel pour une suite intermédiaire. Ce score place Rebirth au niveau des mastodontes Elden Ring ou Baldur’s Gate III. Il valide aussi l’audace de Square Enix, souvent critiqué pour son découpage en trois volets.
Des graphismes époustouflants : la démesure visuelle au service du récit
La direction artistique abat ses cartes dès la plaine de Junon, tapissée de graminées animées par un vent réaliste. Chaque reflet sur l’épée géante de Cloud Strife rappelle la minutie d’une texture 4K ciselée. Les panoramas s’ouvrent désormais sans temps de chargement perceptible grâce au SSD maison de la console.
Midgar, Gold Saucer, paysages côtiers : un kaléidoscope de décors somptueux
L’obscurité industrielle de Midgar contraste avec la flamboyance néon du Gold Saucer, presque trop luxuriante ! Plus loin, les falaises de Gongaga dégagent une atmosphère quasi impressionniste. Ce métissage visuel entretient l’émerveillement malgré la répétition de certains mini-jeux.
Les comparatifs réalisés par Digital Foundry démontrent une densité polygonale doublée par rapport au Remake de 2020. Ce bond technologique confère aux duels contre Sephiroth une aura opératique que même les vétérans n’avaient pas anticipée.
Personnages et narration : entre réécriture audacieuse et nostalgie maîtrisée
Tifa Lockhart bénéficie d’animations faciales affinées, rendant chaque sourire plus tangible. À l’inverse, la prise de risque autour du destin d’Aerith divise : certains critiques déplorent une mise en scène moins poignante que l’original. Pourtant, la relation solaire entre Tifa et Aerith insuffle une chaleur inattendue dans un univers en proie aux machinations de Avalanche.
L’impact émotionnel : promesse tenue ou rendez-vous manqué ?
Le studio joue avec l’anticipation collective sans toujours trouver le souffle lyrical attendu, notamment lors de la révélation sur le père de Nanaki. Cependant, l’affrontement final contre Sephiroth compense par une chorégraphie visuelle quasi symphonique. Le résultat laisse un parfum de sublime inachevé, stimulant l’attente pour le troisième acte.
Gameplay extensif : générosité ou saturation ?
Rebirth foisonne d’activités annexes : courses de chocobos, stratégie de forteresse, collecte de matéria unique. Au début, l’effet parc d’attractions enthousiasme. Avec le temps, la boucle d’exploration récurrente peut lasser les joueurs en quête d’émotion brute.
Un système de combat hybride toujours galvanisant
Les synergies de duo, inédites, encouragent une maîtrise tactique renouvelée. L’enchaînement Cloud Strife / Tifa Lockhart déploie une vélocité impressionnante ! Cette ingénierie ludique rappelle pourquoi la licence reste un mètre-étalon du JRPG, même face aux nouvelles sagas action-RPG de 2025.
La prochaine étape ? Un troisième épisode qui devra concilier cette opulence ludique avec l’intensité émotionnelle tant espérée. Les fans observent, impatients, l’horizon fixé par Square Enix.

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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