Goku trahi ? Cette scène coupée de Dragon Ball Z change TOUT ce que l’on croyait savoir

Un storyboard inédit, exhumé des coffres de Toei Animation, dévoile une scène gommée au montage de Dragon Ball Z : Goku retenu par ses propres alliés avant le Kamehameha final contre Freezer.
Publiée en mai 2025 dans l’anthologie « Legend 40 » de Shueisha, la page bouleverse trente-cinq ans de certitudes et jette une ombre sur la loyauté des Guerriers Z.
Décryptage d’un fragment qui, selon de nombreux spécialistes du Manga, reconfigure entièrement la mythologie imaginée par Akira Toriyama.
La scène effacée : Goku cerné, Freezer sauvé quelques secondes
Découverte dans les archives numériques que Bandai conserve pour ses produits dérivés, la planche montre Krillin et Vegeta – grièvement blessés – s’interposer entre Goku et Freezer afin d’obtenir un vœu secret auprès de Porunga.
Le découpage révèle un Goku épuisé, bras tendu, prêt à déclencher un Kamehameha ultime ; son regard stupéfait tranche avec la détermination fébrile de ses compagnons.
Selon l’annotateur interne, cette séquence fut retirée pour éviter « une trahison prématurée qui brouillait la clarté émotionnelle ». Pourtant, elle expliquerait la rage de Goku quand Krillin est tué quelques instants plus tard.
Pourquoi cette suppression change la lecture du combat de Namek
L’arc Namek a toujours opposé le courage solitaire de Goku à l’arrogance meurtrière de Freezer ; l’idée d’un bref revirement des alliés introduit aujourd’hui une nuance moralement ambiguë.
Vegeta, auparavant mu par la revanche, envisagerait déjà la survie de sa lignée – logique avec son rôle paternel futur – tandis que Krillin, anxieux, chercherait un souhait de résurrection global.
“Une histoire n’est jamais figée, elle respire avec son public.” rappelait Toriyama dans un entretien de 1995 ; ce fragment en fournit la preuve éclatante !
Répercussions sur la chronologie officielle et le concept de Super Saiyan
Si Goku s’est senti trahi juste avant de surpasser ses limites, l’étincelle émotionnelle conduisant à sa première métamorphose en Super Saiyan s’en trouve magnifiée.
Les historiographes de l’Animé notent qu’un doute existentiel nourrit toujours les transformations majeures ; la page retrouvée alimente cette dialectique entre trahison et dépassement de soi.
Côté business, Funimation prévoit déjà une remasterisation « Director’s Cut » intégrant l’esquisse, tandis que Bandai prépare une figurine « Goku Betrayed Edition » limitée à 10 000 exemplaires, prouvant l’impact commercial immédiat.
Conséquences sur la cohérence narrative
Intégrer ce twist transformerait subtilement la relation Goku-Vegeta : leur rivalité prendrait racine non pas seulement dans la fierté saiyan, mais dans une confiance rompue sur Namek.
Les scripts de Dragon Ball Daima, actuellement en cours de diffusion, pourraient s’appuyer sur cette trame, puisque l’épisode 18 évoque déjà une volte-face de Glorio – un écho troublant et sans doute calculé.
Dès lors, la saga poursuivrait un motif: chaque bond de puissance naît d’une fracture affective, renforçant la cohésion thématique de l’œuvre.
La communauté partage, débat et réécrit l’histoire
Sur les forums spécialisés, la déferlante est immédiate : certains crient au chef-d’œuvre restauré, d’autres refusent une « tache » sur l’honneur de Goku.
Les débats rappellent l’émotion suscitée par la réintégration du sabre de Trunks en 2018 ou par l’ajout du plan panoramique dans la version IMAX de 2022 ; l’écosystème Dragon Ball reste ainsi un organisme vivant.
Le rôle des ayants droit face au canon évolutif
Shueisha s’appuie désormais sur un comité de continuité, inspiré du modèle Marvel Studios, pour décider de l’incorporation officielle de documents exhumés.
La stratégie reflète une tension permanente : préserver un héritage culte tout en nourrissant la curiosité d’un public qui, en 2025, consomme simultanément papier, streaming et réalité augmentée.
Le choix final déterminera si la saga, née sous la plume de Toriyama en 1984, continue de grandir ou se fige ; la réponse, comme toujours, viendra autant des artistes que des fans.

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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