Hunter x Hunter : Togashi révèle une vérité crue « je ne voulais pas de cette fin »

Hunter x Hunter traverse un tournant inattendu ! Lors d’une émission télévisée japonaise, Yoshihiro Togashi a confessé ne jamais avoir désiré l’une des fins qu’il garde sous scellés. Sa révélation, aussi brute qu’un coup de Jajanken, chamboule la communauté du Manga.

Hunter x Hunter : la vérité sèche sur la fin alternative de Togashi

Le 21 novembre, l’auteur a détaillé quatre issues potentielles, nommées A, B, C et D. Les trois premières restent secrètes, mais il estime que la A comblerait 50 % des lecteurs, la B diviserait, et la C ne contenterait qu’un fan sur dix.

Paradoxalement, la C demeure sa favorite ; la D serait publiée si la santé du mangaka empirait. Cette dernière scène montre Jin, descendante de Gon Freecss, refusant de quitter l’île après avoir pêché le Seigneur du Lac : un palimpseste mélancolique qui boucle l’héritage familial.

Un casse-tête narratif sous la loupe des fans

La divulgation a libéré un torrent de spéculations. Certains redoutent une rupture brutale avec l’arc du Dark Continent, d’autres voient un écho à l’errance de Kurapika dans le bateau du Black Whale.

Les analystes rappellent que le magazine Shonen Jump exige une cohérence éditoriale ; publier quatre fins serait inédit dans l’industrie du manga. Le dilemme créatif de Togashi devient ainsi matière à étude pour les écoles d’animation japonaise.

Sur YouTube, les décryptages affluent : la fin D serait un miroir de l’épisode 1, où Gon pêchait le même poisson, preuve d’une structure cyclique savamment ourdie.

Santé précaire du mangaka : impact sur l’écosystème éditorial

Depuis 2012, Togashi combat une lombalgie chronique et une quasi-paralysie de la main droite. Chaque chapitre nécessite désormais une posture semi-allongée, prolongée par un staff agrandi, signe d’une résilience admirable.

Les pauses successives ont poussé Shonen Jump à réviser ses plannings. Le retard cascade jusqu’aux studios d’animation japonaise, freinant tout nouvel anime et compliquant les distributions internationales en 2025.

Entre sidération et inspiration : la réponse d’une communauté soudée

Les réseaux bruissent d’initiatives solidaires. Des lecteurs traduisent les croquis de Togashi en braille numérique pour fans malvoyants, illustrant un soutien transversal.

Dans les clubs de cosplay, des tournois caritatifs reprennent la stratégie de Kurapika pour lever des fonds destinés à la recherche médicale. Le parallèle entre la ténacité du personnage et celle de son créateur galvanise les troupes !

Cette effervescence rappelle qu’un désaccord n’est pas un conflit : c’est une chance de tisser un lien durable entre artiste et public, ciment précieux de toute œuvre vivante.

Aurore

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.