Naruto Shippuden : cette incohérence MAJEURE choque encore les fans 15 ans après

Quinze ans après la diffusion, une zone d’ombre continue d’irriter la communauté : la coexistence improbable entre le Shiki Fûjin du dieu de la Mort et la réanimation Edo Tensei. Les débats enflamment encore les fils Reddit, les forums de Crunchyroll et les soirées où l’on binge-watch l’anime. L’inconsistance, pourtant repérée dès 2010, n’a jamais reçu d’explication convaincante malgré les tomes complémentaires publiés par Shueisha !
Incohérence Edo Tensei : pourquoi les âmes scellées reviennent quand même ?
Le principe du Shiki Fûjin est clair : une âme capturée par la divinité funeste reste prisonnière pour l’éternité. Or, lorsque Kabuto perfectionne l’Edo Tensei, des shinobi scellés par ce même sceau – les Hokage en tête – reviennent combattre sans entrave. L’anachronisme juridique du lore choque, car il fait vaciller la cohérence interne que Masashi Kishimoto avait patiemment établie.
Quand la logique technique se désintègre
Dans l’épisode 367, Orochimaru invoque les quatre premiers Hokage alors qu’ils sont censés être irrémédiablement liés au Shiki Fûjin. Même les fiches officielles éditées par Kana soulignent l’incompatibilité des deux jutsu ! Cette discordance pousse certains analystes à parler d’un “bug narratif” comparable aux errata d’un RPG signé Bandai.
Les fans s’interrogent : Kabuto aurait-il trouvé une faille métaphysique ? Aucune ligne de dialogue ne corrobore cette hypothèse, laissant un vide que les encyclopédies de Viz Media n’ont jamais comblé.
Vague de contestation : impact sur la réception de Naruto Shippuden
À chaque rediffusion sur Toei Animation Channel, la polémique ressurgit et alimente les réseaux. Sur TikTok, les speed-runs d’explications frôlent les trois millions de vues, preuve que l’affaire reste brûlante. Même des fabricants comme Banpresto ou Funko voient leurs figurines “Edo Hokage” critiquées pour “illégalité encyclopédique” !
Les éditeurs et studios face à la critique
Shueisha et Kana laissent entendre que la liberté créative prime sur la stricte logique, argument souvent rejeté par les puristes. De son côté, Good Smile Company capitalise sur la controverse : une gamme de Nendoroid “Spirit Release” promet de “réparer l’erreur” grâce à des accessoires scellant les figurines.
Des créateurs en défense mesurée
En 2023, un entretien accordé à Tsume Art révélait que Kishimoto considérait l’Edo Tensei comme “un outil dramatique avant tout”, sans viser la perfection encyclopédique. Cette déclaration, loin d’éteindre le débat, a relancé la question : le spectacle doit-il l’emporter sur la rigueur ?
À l’heure où 2025 voit s’accumuler spin-off et cross-media, l’inflexible logique des fans semble plus forte que jamais. L’incohérence persiste, mais elle alimente discussions, théories et, finalement, la longévité d’une œuvre devenue culte.

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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