Sasuke devait MOURIR ? L’aveu choc de Kishimoto bouleverse les fans de Naruto

Masashi Kishimoto reconnaît avoir envisagé la disparition de Sasuke Uchiwa. Cette révélation, surgie lors d’un entretien croisé avec V Jump, reconfigure l’histoire du plus célèbre ninja renégat. Les ramifications pour « Boruto: Two Blue Vortex » s’annoncent déjà titanesques.

Sasuke devait mourir : l’aveu qui bouscule le canon de Naruto

Le mangaka confie que le sacrifice de l’Uchiwa était inscrit dans son synopsis initial, juste après la quatrième grande guerre. L’idée, jugée trop sombre par l’éditeur, aurait offert une symétrie tragique avec la mort d’Itachi. Ces quelques mots ont suffi à déclencher un séisme sur les réseaux.

Un choix narratif avorté pour préserver l’équilibre de l’œuvre

Kishimoto explique qu’éliminer l’anti-héros aurait placé Naruto dans une solitude abyssale, difficile à gérer pour un shōnen destiné aux adolescents. Les conseillers éditoriaux l’ont convaincu qu’un tel gouffre émotionnel risquait de déliter l’optimisme structurel de la série. L’auteur a donc préféré altérer son plan, transformant la mort en perte de pouvoir : le Rinnegan.

Ce compromis a maintenu la tension sans foudroyer le moral du lectorat. En coulisses, il a aussi permis de prolonger la rivalité pivot du manga, créant des arcs supplémentaires et des volumes record en tirage.

Impact potentiel sur Boruto Two Blue Vortex et l’héritage Uchiwa

La nouvelle série se déroule après une ellipse de quatre ans, époque où Boruto, exilé, cherche encore son mentor. Si Sasuke était mort, Kawaki aurait monopolisé l’attention comme figure sombre de substitution. Les batailles actuelles contre Code auraient alors pris une tonalité plus désespérée, faute de stratège vétéran.

Quand la création influe sur les lecteurs : réactions de la communauté

Sur X, le mot-dièse « #SasukeFate » atteint un pic de 3,2 millions de mentions en moins de douze heures. Les fans francophones oscillent entre soulagement et stupeur : beaucoup avouent continuer Boruto pour apercevoir leur héros déchu. D’autres regrettent qu’un tel twist manqué ait privé l’intrigue d’un électrochoc cathartique.

Mort différée, tension accrue : quels scénarios pour 2025 ?

L’auteur n’exclut plus un destin funeste, mais à un moment « justifié par l’évolution de Boruto ». Si l’arc actuel condamne déjà Naruto à une dimension parallèle, l’absence simultanée de Sasuke libérerait enfin la jeune génération. Le studio Pierrot, en quête de souffle pour l’anime, surveille cette carte dramatique comme un joker narratif.

Entre marketing et storytelling : la frontière mouvante

La survie prolongée du dernier Uchiwa répond aussi à une logique mercatique : figurines, jeux mobiles et collaborations continuent de s’arracher. Une mort prématurée aurait amputé ces revenus annexes estimés à 120 millions de dollars annuels. Pourtant, les œuvres japonaises prouvent que le risque paie : l’exemple de « Kimetsu no Yaiba » montre qu’un sacrifice majeur peut doper, non freiner, les ventes.

Les éditeurs pèseront donc encore longtemps l’équation entre choc émotionnel, fidélité artistique et durabilité commerciale. Reste que la phrase confidente de Kishimoto, lâchée sur un plateau sobre, plane désormais comme une épée de Damoclès au-dessus de la saga.

Aurore

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.