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Super Saiyan 4 : pourquoi cette transformation de Goku fascine encore 20 ans après GT ?

Par Aurore , le 23 septembre 2025 à 07:21 - 3 minutes de lecture
découvrez pourquoi la transformation super saiyan 4 de goku, introduite dans dragon ball gt, continue de captiver les fans deux décennies plus tard. analyse des raisons de son succès et de son impact dans l’univers dragon ball.

Vingt ans ont filé depuis la fin de Dragon Ball GT, pourtant le rugissement de la forme Super Saiyan 4 résonne plus que jamais ! L’épisode 18 de Dragon Ball Daima l’a rendu canon, bouleversant la timeline officielle d’Akira Toriyama. Cette intronisation tardive explique seulement une partie de la fascination persistante.

Super Saiyan 4 devient canon : un tournant validé par Toriyama

L’intégration de la Transformation la plus sauvage de Goku consacre enfin un fantasme collectif. Dans Daima, un sort de Neva réveille un pouvoir latent, sans passer par le Grand Singe doré décrit en 2005. Le choix de la magie évite toute collision frontale avec les formes divines post-Super.

Une intronisation logique dans la chronologie officielle

La bande-annonce annonçait déjà l’importance des arcanes démoniaques ; l’épisode confirme l’intuition. Saiyan et énergie occulte s’entrelacent, nouant un pont inattendu entre science du ki et sorcellerie. Les scénaristes ménagent ainsi une porte narrative pour effacer, plus tard, tout souvenir gênant.

Pourquoi ce design aimante encore les fans

Furie bestiale, crinière écarlate, queue féline : le visuel frappe comme un totem ancestral. Les teintes vermillon rappellent le Super Saiyan God, tandis que la fourrure sombre renvoie à l’instinct primitif. Ce mélange crée une silhouette mémorable, loin du minimalisme parfois critiqué du bleu divin.

L’équilibre entre bestialité et divinité

En 2025, la culture pop cherche l’hybridation ; Toei Animation l’a compris. Le SSJ4 version Daima s’appuie sur le Limit Breaker de Super Dragon Ball Heroes sans renier GT. Résultat : une esthétique chimérique qui séduit la génération streaming tout en flattant la fibre nostalgique.

Le dilemme de la continuité : où est passé le SSJ4 dans Dragon Ball Super ?

Face à Beerus, puis lors du Tournoi du Pouvoir, aucun indice de ce pouvoir colossale. L’hypothèse la plus crédible : la forme dépend d’une catalyse magique introuvable après la bataille contre Gomah. Une seconde piste évoque un sort d’amnésie collectif, très pratique pour préserver la cohérence de l’Anime.

Magie, mémoire ou simple stratégie ?

Les forums enfiévrés suggèrent aussi une restriction énergétique : le SSJ4 siphonnerait trop de stamina pour des duels extrêmes. D’autres évoquent un choix tactique ; Goku préfère les formes divines, plus stables. Quoi qu’il en soit, la discussion nourrit un engouement viral et renouvelle le débat canon.

Un atout marketing pour Toei Animation et le Manga multicanal

Figurines premium, skins vidéoludiques, textiles collector : la résurgence du SSJ4 dynamise un marché déjà florissant. L’annonce officielle a propulsé les précommandes de 38 % selon l’institut Tokyo-Insight. Cette flambée illustre le pouvoir du Fan service quand il s’enracine dans la narration.

Quand la nostalgie booste les ventes

Les chaînes de streaming misent sur des week-ends marathon Manga pour capitaliser sur l’élan. De son côté, Bandai réédite la mythique carte prismatique SSJ4 de 2004, déjà en rupture. L’alliance de la réminiscence et de la nouveauté confirme que le mythe Saiyan reste inaltérable !

aurore lavaud

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.

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