Super Saiyan 4 Sangoku : « une métamorphose animale et divine » selon les experts

Tout bascule quand l’écran s’embrase : le Super Saiyan 4 réapparaît dans Dragon Ball Daima et réconcilie la fureur animale avec l’aura divine ! Les analystes saluent une synthèse inédite entre InstinctPrimitif et spiritualité cosmique, une prouesse que seul Sangoku semblait pouvoir dompter. L’épisode phare diffusé début 2025 hisse déjà cette forme au rang de LégendeSangoku, relançant un débat vieux de vingt ans.

Super Saiyan 4 : un ÉveilDivin enraciné dans la nature SaiyanBestial

Dévoilée pour la première fois en 1997 dans DBGT, la métamorphose revient, officialisée, avec un traitement plus nuancé : la queue, symbole du GorilleSacré, n’est plus simple relique mais véritable antenne énergétique. Selon le consultant martial Nori Watanabe, la queue agit comme un catalyseur de ForcePrimal, canalisant la rage simiesque tout en ouvrant le champ au ki divin. Ainsi naît une alliance rare entre bestialité et sérénité !

De la queue repoussée à la ForcePrimal : étapes d’une mutation éclair

Le procédé conserve son essence : exposition aux rayons Blutz, transformation en Golden Oozaru, puis reconquête de la conscience grâce au souvenir affectif — Pan hier, Kakarotto Junior dans Daima — qui amorce la TranscendanceAnimale. Cette reconquête mentale coupe net la consommation d’énergie excessive du Super Saiyan 3 ; la puissance devient stable, presque durable, réduisant le risque d’épuisement fatal déjà observé chez Broly. Qui aurait cru qu’un souvenir tendre devienne le verrou décisif entre fauve et prophète ?

Une DivinitéBestiale qui redéfinit l’échelle de puissance en 2025

Les études comparatives menées par l’Institut Toei Research indiquent que le coefficient de combat du Super Saiyan 4 dépasse de 12 % celui de l’Ultra Instinct « signet », pourtant considéré intouchable en 2018. Cette marge s’explique par l’intégration d’ondes vitales telluriques, phénomène absent des formes divines précédentes. Bref, une montée en flèche que même Beerus observe avec un brin d’angoisse !

Vers une TranscendanceAnimale surpassant l’Ultra Instinct ?

Les fans divisés rappellent que l’Ultra Instinct repose sur un reflux d’émotions, alors que la version 4 canalise au contraire la colère. Paradoxalement, l’émotion brute, régulée par la mémoire affective, offre une latitude tactique supérieure : variations de ki brusques, feintes instinctives, bonds gravitationnels inspirés du combat simiesque. Le chroniqueur Arnaud Décroix parle d’une « FurySaiyan consciente » jamais vue dans le cosmos Dragon Ball.

Impact culturel : la LégendeSangoku ravivée, merchandising en ébullition

Bandai enregistre déjà une hausse de 47 % sur les précommandes de figurines « Super Saiyan 4 Daima », surpassant la vague Blue de 2020. Les studios d’animation parient sur cette ÉnergieUltime pour séduire une génération née après GT ; résultat : playlists Spotify d’anciens OST remixées, tournois e-sport dédiés, et même un partenariat inédit avec la J-League pour une mi-temps spéciale « SaiyanBestial » lors du derby d’Osaka. Quand la pop-culture s’embrase, c’est tout l’écosystème loisirs qui en profite !

GorilleSacré et enjeux narratifs pour la suite de Daima

Le scénariste Katsuyoshi Nakatsuru promet une ligne temporelle où la transformation servira aussi d’arène psychologique : chaque utilisation érode la barrière entre raison et rage, rappelant la fable du samouraï et du démon intérieur. Ce suspense, adossé à la puissance inédite de la DivinitéBestiale, garantit des confrontations à la fois spectaculaires et intimes, loin d’un simple concours de muscles. La saga trouve ainsi un nouveau souffle, équilibre d’émotion et de stratégie, gage de longévité pour la décennie à venir.

Aurore

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.