Super Saiyan 4 Sangoku le mystère de la transformation culte de Dragon Ball GT

Entre héritage sauvage et prestige canon, la forme super Saiyan 4 propulse Sangoku au sommet de la mythologie Dragon Ball. Apparue dans Dragon Ball GT, puis réactivée en 2025 via Daima, elle conjugue puissance brute et mémoire génétique Saiyan. Pourquoi cette métamorphose atavique captive-t-elle toujours autant ?
Super Saiyan 4 : l’ascension primordiale de Sangoku
Née d’un retour aux instincts simiesques, la transformation se déclenche d’abord par le Golden Oozaru, avant de s’affiner en guerrier à la fourrure écarlate. Aucun autre stade n’unit aussi harmonieusement bestialité et maîtrise du ki. Avec Daima, Akira Toriyama officialise enfin ce pouvoir, confirmant sa place dans la chronologie principale !
De l’Oozaru doré au guerrier écarlate : le déclenchement
Dans GT, l’excroissance de la queue puis l’exposition aux ondes Blutz ramènent Goku dans une forme géante incontrôlée. Les suppliques de Pan restaurent sa lucidité ; l’énergie se condense alors en super Saiyan 4, fusion de l’humain et du singe totem. Daima innove : un sort de Neva remplace l’onirique lumière lunaire, preuve qu’une clé magique peut court-circuiter le rituel biologique.
Cette variation souligne la plasticité narrative du concept ; une même essence, deux chemins d’éveil, un symbole toujours iconoclaste.
Pourquoi cette forme fascine encore en 2025
L’esthétique joue un rôle décisif. Cheveux noirs en bataille, regard fauve, torse enveloppé de fourrure rubis : l’allure est majestueuse et sauvage à la fois. Les sondages du Jump Festa 2024 plaçaient déjà cette silhouette devant l’Ultra Instinct pour le design préféré des fans ; Daima n’a fait que cimenter ce verdict populaire.
Un atout stratégique face aux métamorphoses divines
Le saut de SSJ3 vers SSJ4 multiplie la force sans éroder l’endurance ; fini l’hémorragie de ki qui laissait Goku exsangue après trois minutes. Lors du combat contre Omega Shenron, même à demi aveugle, il tient tête à un adversaire cosmique : la preuve empirique d’une puissance durable. Cette robustesse, absente des formes divines trop énergivores, fait de SSJ4 un joker crédible face aux menaces multiverselles.
Le hashtag #SSJ4Reborn a culminé à 2,8 millions de tweets lors de la diffusion de l’épisode 18 de Daima, illustrant l’engouement transgénérationnel.
Le défi scénaristique posé à Dragon Ball Super
Pourquoi Goku ignore-t-il cette arme dans le Tournoi du Pouvoir ? La version Daima suggère une activation dépendante de la magie de Neva ; sans catalyseur, impossible de l’invoquer à volonté. Une autre piste évoque une amnésie induite pour préserver l’équilibre des forces divines. Quoi qu’il en soit, l’intrigue ouvre une brèche palpitante pour la suite de Super.
Vers un nouvel équilibre entre mythe et futur
La coexistence de SSJ4, du Saiyan God et de l’Ultra Instinct crée une arborescence de pouvoirs inédite, offrant aux scénaristes un terrain tactique luxuriant. Revenir à l’atavisme Saiyan rappelle que la force de Goku n’est pas qu’une affaire de divinité ; elle s’enracine aussi dans une animalité ancestrale, indocile et cathartique. Le public retrouve ainsi la saveur brute des premiers arcs tout en scrutant l’horizon crépusculaire d’un multivers en pleine expansion.

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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