Super Saiyan 4 vs Blue : qui est le vrai sommet de la puissance selon les fans ?

Super Saiyan 4 vient d’obtenir, grâce à l’épilogue de Dragon Ball Daima, une victoire flamboyante qui relance la question : la forme “Blue” reste-t-elle vraiment le pinacle ? Les forums explosent, les sondages rivalisent d’arguments et les ventes de figurines s’affolent. Tandis que 2025 confirme l’essor du streaming animé, la rivalité entre ces deux métamorphoses devient un cas d’école pour mesurer la popularité autant que la puissance!

Super Saiyan 4 ou Blue : la bataille symbolique qui enflamme la communauté

Depuis la diffusion du final de Dragon Ball Daima, les votes en ligne opposant Super Saiyan 4 et Super Saiyan Blue dépassent le million sur Manga Plus et Crunchyroll. Les partisans du Blue insistent sur le ki divin introduit par Dragon Ball Super, preuve d’une élévation quasi théologique. Les nostalgiques de Dragon Ball GT, eux, célèbrent la sauvagerie primalement stylisée du SSJ4, jugée plus authentique.

Puissance brute : chiffres, exploits et controverses

Les données officielles de Shueisha compilées par Funimation indiquent que Blue multiplie par dix la forme God, elle-même déjà cosmique. Pourtant, l’épisode 13 de Daima montre un SSJ4 enfant terrasser Gomah, un démon classé “menace planétaire” par la Toei Animation. La cohérence chiffrée vacille : comment une forme conçue avant le ki divin rivalise-t-elle avec la puissance des Dieux de la Destruction ?

La vidéo comparative enregistre 4 millions de vues en 48 h, preuve que la réponse n’est pas tranchée. Les analystes y rappellent qu’en 2021, Toriyama lui-même parlait d’“échelles de force parallèles”. Ce flou alimente l’embrasement actuel.

L’influence de Dragon Ball Daima sur la perception du Super Saiyan 4

La révélation de Daima bouleverse la chronologie : Goku possédait déjà la graine du SSJ4 juste après Majin Buu, éveillée plus tard par Neva. Cette simplicité démythifie la forme et la ramène à un entraînement rigoureux, loin d’un artefact divin. Certains fans crient à la dilution, d’autres saluent une cohérence rappelant l’arc Cell où chaque palier découlait d’efforts acharnés.

Sur X, le sondage épinglé par le compte officiel de Bandai recense déjà 62 % de votes favorables à cette origine épurée! Le camp opposé juge la décision anticlimactique, préférant l’aura quasi chamanique véhiculée en 1996.

Quand la nostalgie de Dragon Ball GT rencontre la sacralité de Dragon Ball Super

Le paradoxe tient à l’émotion : GT, malgré ses lacunes scénaristiques, offrait le charisme animal d’un Goku à la fourrure pourpre. À l’inverse, la forme Blue symbolise la maîtrise, la sérénité et le contrôle absolu du “godly ki” popularisé par Beerus. Deux philosophies s’affrontent : l’instinct bestial versus la sagesse divine.

Dans l’émission citée, l’historien du manga Raphaël Melin rappelle qu’en 2025 “nostalgie” demeure le premier moteur d’achat de produits dérivés. Les éditeurs comme Crunchyroll capitalisent sur ce constat avec des marathons GT remasterisés.

Marchandises, streaming et votes : l’économie du duel

Les chiffres de vente Bandai révèlent une hausse de 38 % des figurines SSJ4 depuis avril, rattrapant le Blue. Funimation et Crunchyroll, eux, constatent une explosion des re-visionnages des arcs “Ressurrection F” et “Baby Vegeta”, preuve que chaque camp consolide ses arguments par le contenu. Même Shueisha propose, via la plateforme Jump, un sondage intégré aux chapitres hebdomadaires, transformant la passion en métrique marketing.

Et si la réponse dépendait de l’adversaire ?

Les stratèges du fandom avancent une idée nuancée : contre un ennemi à aura divine – Golden Freezer, Moro ou Black Freeza – l’énergie sacrée du Blue reste supérieure. Face à des entités hybrides comme Gomah ou Baby, la robustesse bestiale du SSJ4 s’impose souvent. Cette conclusion variable rappelle qu’un Dragon Ball captivant ne livre jamais de verdict définitif ; il éveille un débat perpétuel qui fait battre le cœur de la saga.

Aurore

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.