My Hero Academia qui survivra vraiment jusqu’à la fin de l’anime

Derniers arcs, ultimes sacrifices ! À l’approche du dénouement télévisé de My Hero Academia, une question taraude la communauté : qui verra véritablement le générique final ? Entre pertes déjà actées dans le manga et issues encore floues à l’écran, cette analyse sépare le probable du fantasme.
Qui survivra dans My Hero Academia jusqu’au dernier épisode ?
La trame publiée en 2024 a déjà livré son verdict, pourtant l’anime garde une latitude pour nuancer certaines fins. Les signaux concordent : Izuku Midoriya quitte le rang des surhumains, mais son avenir n’est pas funeste. Malgré la disparition de One For All, il devient mentor et reprend du service grâce à l’exosquelette mis au point par Melissa et Mei. Sa survie ne fait donc plus débat !
La classe 1-A, un noyau quasi intact
Les sources croisées entre chapitres 428-430 et les scripts prévisionnels de Bones laissent entendre que Katsuki Bakugo, Shoto Todoroki et leurs compagnons demeureront tous en vie. Leur rôle de colonne vertébrale de la reconstruction héroïque est indispensable à la cohérence du saut temporel de huit ans. L’anime devrait donc refléter cette stabilité, ne serait-ce que pour préserver la transition vers la nouvelle ligue de professionnels menée par Lemillion.
Personnages secondaires : les zones d’ombre à surveiller
La mort déjà illustrée d’Himiko Toga bouleverse la trajectoire d’Ochaco Uraraka, mais aucune autre disparition majeure parmi les pairs n’a été entérinée. Les dossiers de production évoquent plutôt des blessures durables : Tenya Iida sort amaigri du combat contre l’avant-garde de All For One, tandis que Tsuyu Asui garde des séquelles pulmonaires dues au gaz incendiaire de Dabi. En revanche, rien n’indique le décès d’un membre du Big Three ou d’un professeur emblématique.
Autour de Deku : l’importance du relais générationnel
Horikoshi impose une logique de passation : la survie de Eijiro Kirishima ou de Momo Yaoyorozu n’est pas anodine, elle symbolise le pivot entre anciens élèves et recrues post-guerre. Les studios l’ont confirmé lors du Jump Festa 2025 : ces personnages ancrent l’univers dans un optimisme nécessaire après la déflagration Shigaraki.
Les cas limites : sort réservé aux figures comiques
Certains craignent un sort tragique pour l’élément comique de service, mais la dynamique éditoriale milite pour la préservation de la mascotte afin d’aérer le script final. Ni Minoru Mineta ni Fumikage Tokoyami ne présentent d’arc inachevé qui justifierait une disparition choc. Mineta devient d’ailleurs l’atout comique auprès des premières années, alors que Tokoyami soutient Hawks dans la gestion des crises frontalières.
Un marché international très attentif
Crunchyroll et Netflix savent que le public familial demeure sensible aux décès dramatiques ; les productions récentes (Demon Slayer, Jujutsu Kaisen) ont montré qu’un équilibre subtil entre tension et espoir favorise la fidélité. Maintenir vivants la plupart des protagonistes tout en jouant sur la perte de puissance de Deku équivaut donc à un compromis narratif et marketing.
Pourquoi ces survivants sont essentiels à l’écosystème post-guerre
Chaque héros conservé incarne une fonction sociétale : Shoto Todoroki répare la confiance envers les lignées à alter, Katsuki Bakugo incarne la rédemption de l’orgueil, Momo Yaoyorozu symbolise l’innovation responsable. Sans leur présence, le programme de « Quirk Counselling » dirigé par Ochaco manquerait de relais techniques et psychologiques.
L’impact culturel d’un final moins létal
Les archives Shonen Jump révèlent que les mangas les plus relus après cinq ans sont ceux dont l’épilogue ouvre une voie d’espérance. My Hero Academia adopte cette ligne : offrir un monde reconstruit où un héros sans alter, Deku, continuerait d’inspirer les lecteurs à « devenir une meilleure version d’eux-mêmes ». Une mortalité mesurée, loin d’amoindrir la tension, permet aux thèmes d’altruisme et de responsabilité collective de perdurer bien au-delà du dernier épisode.

Aurore Lavaud est responsable RH dans une entreprise industrielle spécialisée dans les tubes plastiques. Appréciée pour son écoute et son sens du dialogue, elle excelle dans la gestion des conflits et le lien humain. Accessible et posée, elle incarne une approche des RH ancrée dans le réel. En dehors du travail, elle est capitaine d’une équipe de badminton qu’elle entraîne deux fois par semaine.
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